MayJoe est née dans les terres gelées de Dun Morogh en Dalaran. D’une mère magicienne Mayiline, et d’un père chasseur. Particuliarité de ses parents, son père était un elfe. Celui-ci était mauvais et traitait aussi mal son compagnon de chasse que sa propre famille. Pour un oui ou pour un nom, les baffes et les injures pleuvaient dans le foyer familial, jusqu’à un beau matin ou il avait disparu avec la majeure partie de ses affaires.
MayJoe et Mayiline, sur les conseils avisé d’un ami mage, déménagèrent bientôt vers la foret d’Elwynn. Chaude et ensolleillée, elle n’eurent aucune peine à s’y faire de nouveaux amis et un nouveau cadre de vie. Cependant, forte de sa haine envers son père, mayjoe ne suivit pas les conseils de sa mère et s’engagea sur le chemin du coté obscur de la magie, c’est ainsi qu’elle entreprit des études en démonologie, malédiction et autres sorts puissants qui, plus tard, feront d’elle la démoniste aguérie que nous connaissons.
Lorsqu’elle eut 26 hivers (printemps eut été trop poétique pour une démoniste, voyons !) elle rencontra par hasard un membre de la guilde « la belgariade ». Celui-ci se nommait Astrom et fesait partie des officiers de ladite guilde. Ils se lièrent rapidement d’amitié jusqu’à ce que finalement, Astrom invite MayJoe en leur sein.
Devant l’amitié qui se forgeait entre elle et les membres de la guilde, leur grand seigneur zaefir conscenti à offrir à MayJoe un rang spécial pour elle. C’est ainsi qu’elle devint leur Mascotte officielle.
L’age aidant, MayJoe fini par arriver à son 60e hiver. Toute la guilde fêta cela avec entrain, bière et hydromel furent au rendez-vous de la grande fête donnée à Stormwind pour l’occasion. Mais il faut un temps pour tout, et MayJoe, assoiffée d’aventure voulu rejoindre une guilde (ruine) composée de ses anciens amis de Dun Morogh ainsi que du fameux mage qui les avait aidé à déménager. Le rythme changea, elle appris beaucoup mais ses ambitions diminuèrent petit à petit jusqu’à ce qu’elle décide de quitter également cette guilde.
Lorsqu’elle apprit que ses anciens compagnons de route qu’elle aimait tant (les belgariens) avaient décidé de changer de royaume afin de rejoindre la communauté naissante d’eitrigg, elle ne réfléchi pas 1 seconde de plus et entrepris le même voyage, accompagné de sa mère, bien entendu. Mais une fois arrivée sur place, ses anciens amis ne voulurent plus d’elle. Ils s’étaient senti abandonnés et trahis lors de son aventure avec les Ruine.
Elle erra donc, orpheline, seule et abandonnée, sans réelle recherche d’une nouvelle guilde, pensant à quitter définitivement ce monde terne et morne sans une guilde avec partager ses aventures… Déambulant à travers Ironforge, un elfe la remarqua avec son début d’équipement épique, et sa mine triste. Il était officier dans une guilde qui recrutait du monde pour s’aventurer dans ces donjons que MayJoe connaissait déjà bien. Le courrant passa bien, et ils décidèrent de l’inviter chez eux.
Malheureusement la malchance continua à poursuivre notre gnomette… finalement, déçue elle décida de quitter cette guilde après avoir essuyé reproches et mésentente avec les décideurs…
C’est là qu’elle eut l’idée qui l’empêcha de tout laisser tomber ! « Si aucune guilde ne me convient réélement, alors il ne me reste plus qu’à créer la mienne, avec ma façon de penser comme banière ! »
Elle ne connaissait personne ou presque dans ce nouveau royaume et du se résigner à demander à des inconnus de bien vouloir l’aider à monter sa propre guilde. En quelques heures elle trouva une dizaine de personnes sympathique qui lui signèrent sa charte et c’est le cœur plein d’enthousiasme qu’elle se présenta devant le maitre des guildes afin de créer : Les Feydakins !
Depuis, cheffe improvisée et quelque fois un peu gauche, elle mène sa barque tant bien que mal au sein de sa petite communauté. Elle ne peut s’empècher d’être fière de ce qu’elle a accompli et des gens qu’elle a rencontré lors de sa petite vie en Azeroth. Mais il lui reste encore bien du chemin, à présent accompagnée d’une guilde dont elle est fière, elle les mène tant bien que mal sur les chemins qu’elle a arpentés et se réjoui d’avance de pouvoir en découvrir de nouveaux en leur compagnie.